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Né à Ajaccio, étudiant à Nice, enseignant d’histoire et de français
en région parisienne, rôliste et joueur d’échecs sur la Côte d’Azur,
coopérant en Sicile, Paul Carta ne semble pas vouloir rester en place.
C’est de ses expériences qu’il tire matière à romans. Son premier,
L’artefact sicilien, fut d’ailleurs écrit lors de son séjour en
Sicile et est probablement le seul livre de science-fiction étudié à
l’université de Palerme. De son expérience de joueur d’échecs, il
tire un roman de science-fiction, Gens Una Sumus, où des extraterrestres
s’intéressent au jeu d’échecs, pour des motifs autres que ludiques
tiré du site des imaginales
Résumé de l'œuvre:
L'échiquier des
étoiles (2006):
La Terre en 2082.
Rien ne semble avoir changé aux yeux d'Eric, projeté dans un nouvel
univers après un long sommeil cryogénique : les touristes se promènent
à l'ombre de la tour Eiffel, des gamins jouent au base bail dans Central
park, et la coupe du monde de football va bientôt commencer.
Et pourtant...
Depuis quarante ans, la Terre fait partie d'une Confédération galactique
; de rares vaisseaux spatiaux débarquent technologies de pointe et matières
premières, sous le contrôle d'une ONU désormais toute puissante ;
tandis que les Alfies restent cloîtrés dans leurs ambassades orbitales,
des groupuscules Antéens multiplient les attentats.
Car la Terre n'a finalement que peu de contacts avec les puissances
extraterrestres : elle n'exporte en fait qu'une seule chose, la seule qui
intéresse véritablement des Alfies hautains et inaccessibles : des jeux
d'échecs.
Mais pourquoi ces races extraterrestres s'intéressent-elles tant au jeu
d'échecs ?
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